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 L'actualité du 1er mai 2011

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chuzzle
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MessageSujet: L'actualité du 1er mai 2011   L'actualité du 1er mai 2011 Icon_minitimeDim 1 Mai - 20:56

Le foot français en pleine tempête



La Fédération française de football est en pleine tourmente après la publication, samedi, par le site internet Mediapart, des propos tenus fin 2010 lors d'une réunion de ses cadres techniques : le DTN François Blaquart a été suspendu alors que le sélectionneur national Laurent Blanc s'est excusé. Cette réunion, consacrée à l'éventuelle mise en place de quotas concernant les binationaux dans les filières de formation fédérales, s'était tenue le 8 novembre 2010 en présence des plus hauts cadres techniques de la FFF, dont le sélectionneur Laurent Blanc. Les propos tenus lors de cette réunion ont suscité une réprobation des associations anti-racistes et du monde du football.

Qu'avait dit François Blaquart ? "On peut baliser, en non-dit, sur une espèce de quota. Mais il ne faut pas que ce soit dit. Ça reste vraiment que de l'action propre. Bon voilà, on fait attention. On a les listes, à un moment donné", avait-il lâché. Blaquart a depuis expliqué qu'il s'agissait de régler le problème de "l'évasion de joueurs", formés en France et qui optent pour une sélection étrangère, et des "problèmes dans la gestion de l'effectif". Et de justifier : "On a 45% de joueurs dans les sélections qui ont la possibilité de nous quitter, on pense que c'est beaucoup". Samedi, il a fait marche arrière sur le quota : "On s'est aperçu que ce n'était pas une bonne solution". Pourtant, les termes utilisés lors de cette fameuse réunion étaient sans équivoque. C'est le sélectionneur des Espoirs, Erick Mombaerts, qui avait lancé le débat : "Est-ce qu'on s'attelle au problème et on limite l'entrée du nombre de gamins qui peuvent changer de nationalité ?" Réponse du sélectionneur national : "Moi j'y suis tout à fait favorable". Prolongeant la discussion sur les quotas, Laurent Blanc proposait alors un changement dans les critères de sélection, privilégiant trop selon lui le physique au détriment des petits gabarits : "On a l'impression qu'on forme vraiment le même prototype de joueurs: grands, costauds, puissants. (...) Qu'est-ce qu'il y a actuellement comme grands, costauds, puissants? Les Blacks. Et c'est comme ça".

"Mais que reproche-t-on vraiment à Blanc ?"

Laurent Blanc a admis depuis que certains de ses propos pouvaient "prêter à équivoque" et a déclaré que s'il avait "heurté certaines sensibilités", il s'en "excusait". Chantal Jouanno n'en a pas moins qualifié les termes employés de "graves". La ministre des sports a souligné qu'une mission d'inspection de la Jeunesse et des Sports ainsi qu'une commission d'enquête allaient se pencher sur le sujet. "Cela nous permettra d'avoir plus d'éléments matériels. Si les allégations de Mediapart sont fausses, il y aura sans doute une attaque en diffamation. Nous soutiendrons leur action. Si c'est vrai, si on a des éléments matériels, on transmet au procureur", a-t-elle déclaré.

Beaucoup plus acerbe, la socialiste Safia Otokoré, vice-présidente en charge des sports de la région Bourgogne, a estimé que les propos du sélectionneur le "disqualifient". Dans un communiqué intitulé "démission de Laurent Blanc", elle a dit espérer "que le président de la Fédération française de football prendra la décision qui s'impose et ne se contentera pas du simple communiqué d'excuse dont Monsieur Blanc nous a gratifiés". La Première secrétaire du PS, Martine Aubry, a jugé  "inacceptable, terrifiant et imbécile" ce scandale des quotas, regrettant par  ailleurs les regrets "tardifs" de Laurent Blanc. Tout à l'opposé, le président de Debout la République, Nicolas Dupont-Aignan, a estimé dimanche que le sélectionneur des Bleus et le directeur technique national étaient "victimes de la nouvelle inquisition", accusant Chantal Jouanno "d'hypocrisie". Et de dénoncer : "L'empressement du ministère des Sports et de la Fédération française de football à mettre à pied le DTN est ahurissant. Ce dernier a tout bonnement été sacrifié sur l'autel de la bien-pensance (...) Mais que reproche-t-on vraiment à Blanc, Blaquart et les autres membres de la DTN ? Ils ont tout simplement cherché à privilégier les joueurs de nationalité française dans les centres de formation français. Où est la discrimination raciale ? Où est le scandale ?"

Pendant que le débat gagne ainsi la sphère politique, le football français fait le dos rond. L'entraîneur de Rennes, Frédéric Antonetti, joue les blasés : "Je ne connais ni les tenants ni les aboutissants. Rien ne me choque, on est dans une société un peu bizarre, je ne connais rien de l'histoire et ça ne m'intéresse pas." L'entraîneur de Bordeaux, Jean Tigana, note : "Je sais ce que c'est d'être accusé pour rien. Je n'ai pas à donner mon avis car je n'ai pas suivi l'affaire. (...) J'ai eu trois semaines de procès en Angleterre, je les ai tous gagnés en cassation. J'attends de voir (...) Je vais appeler Laurent Blanc, on est une famille". Rudi Garcia, l'entraîneur de Lille, plaide pour sa part : "A mon avis, il y a bien un endroit où il n'est pas question de religion, c'est dans le foot. C'est un procès d'intention. Laurent Blanc n'a rien à prouver". Et Ludovic Obraniak milieu international polonais de Lille, tout en estimant qu'il "n'y a pas de racisme dans le foot", reconnaît : "On ne peut empêcher les choses. Moi-même j'ai été en espoir avec les Bleus et puis plus appelé. Il y a peut-être un problème par rapport aux sélections. Il n'y a pas plus à dire là-dessus".



Harcèlement à l'école : le gouvernement veut réagir



Le sujet est encore loin de faire consensus. Mais la gravité du phénomène est de plus en plus reconnue, et nombreux sont les experts de l'éducation qui ont tiré la sonnette d'alarme. La politique publique à mener pour enrayer le harcèlement entre enfants à l'école doit donc être fixée à l'occasion "d'assises nationales" organisées pendant deux jours à Paris : elles se dérouleront lundi et mardi au lycée Louis le Grand. Les premières mesures concrètes seront annoncées par le ministre de l'Education nationale, Luc Chatel, sur la base d'un rapport remis par le chercheur Eric Debarbieux, président du conseil scientifique des états généraux de la sécurité à l'école.

Deux jours d'interventions et d'ateliers, avec des exemples venant d'Allemagne, des Etats-Unis, de Grande-Bretagne et d'Israël, seront l'occasion de discuter des façons de mieux reconnaître le harcèlement, former les adultes et mobiliser les écoles. Le harcèlement ("school bullying" dans les pays anglo-saxons) est fait de brimades répétées, physiques ou verbales: de petites agressions allant du vol de goûter aux insultes, par exemple homophobes ou racistes, mais aussi aux coups ou au racket, via parfois des phénomènes de groupe aux effets renforcés par l'usage d'internet et des réseaux sociaux. Ces violences ont des conséquences scolaires (décrochage, absentéisme) mais aussi des effets psychologiques à long terme.

Pas question de "ficher" les supposés "harceleurs"

Si un écolier sur dix dit avoir été ainsi "harcelé", selon une étude menée par Eric Debarbieux pour l'Unicef, le sujet ne fait cependant pas l'unanimité. Selon le professeur de psychologie Hubert Montagner, "il n'y a aucune étude scientifique (...) sur les conduites que l'on qualifie d'agressions, en particulier le harcèlement si on le considère comme une agression". En faire un sujet d'assises, "on ne s'y prendrait pas autrement si on voulait occulter les conséquences désastreuses des mesures imposées par le ministère de l'Education nationale depuis trois ans", a-t-il écrit, citant notamment la réduction du nombre de postes d'enseignants, la hausse des effectifs d'élèves par classe ou encore "l'extinction à terme des Rased", ces enseignants spécialisés dans la lutte contre l'échec scolaire.

Dans son rapport, Eric Debarbieux a cependant écrit qu'il fallait mieux former les personnels à détecter le harcèlement, en particulier les Rased, qui doivent être selon lui "confortés dans leurs missions". Et de mettre en garde : prévenir les risques et aider les victimes, cela ne consiste en rien à "ficher" de jeunes supposés "harceleurs".



Source: http://lci.tf1.fr/
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MessageSujet: Re: L'actualité du 1er mai 2011   L'actualité du 1er mai 2011 Icon_minitimeDim 1 Mai - 20:57

PlayStation Network va redémarrer, Sony promet plus de sécurité



La fin du black-out se profile pour le réseau PlayStation Network. "Sony Computer Entertainment et Sony Network Entertainment International vont bientôt redémarrer, par étape et par région, le réseau PlayStation Network et Qriocity, en commençant par remettre en route les services de jeu, de musique et de vidéo", a expliqué le géant de l'électronique dans un communiqué diffusé dimanche. Sony a en outre annoncé "des mesures pour améliorer la sécurité de son réseau et un programme de satisfaction du consommateur pour remercier les clients de leur patience et de leur loyauté".

Le groupe a souligné qu'il n'y avait "aucune preuve actuellement" que des numéros de comptes bancaires aient pu être subtilisés à des utilisateurs par les pirates, sans l'exclure toutefois. Il a assuré qu'il allait "aider ses clients à protéger leurs données personnelles sur internet via l'adoption de services de protection contre le vol d'identité et autres programmes".

La crainte d'usurpations d'identité massives

Le géant japonais avait dû suspendre le 20 avril son système PlayStation Network, reliant ses consoles de jeu de salon à internet : des hackers s'étaient emparés de données appartenant aux utilisateurs, notamment leur date de naissance et leur mot de passe. Sony a aussi interrompu son service de musique en ligne Qriocity, après cette attaque contre le portail interactif reliant la PlayStation 3 à des jeux ou des films en ligne.

Ce vol de données personnelles, qui porte aussi sur des adresses physiques et électroniques, fait redouter des usurpations d'identité à des fins d'escroquerie. Sony n'exclut pas que des numéros de carte bancaire aient été dérobés.

Lancé en novembre 2006, le réseau PlayStation Network compte 75 millions d'utilisateurs inscrits dans le monde entier. Il permet à des utilisateurs de la console de jeu de s'affronter d'un endroit à l'autre de la planète et d'acheter des jeux, des films ou de la musique via internet.


Source: http://lci.tf1.fr/
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