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 L'actualité du 20 octobre 2011

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chuzzle
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MessageSujet: L'actualité du 20 octobre 2011   L'actualité du 20 octobre 2011 Icon_minitimeJeu 20 Oct - 17:09

Aide européenne aux démunis : c'est très mal parti...


L'Allemagne et la Suède, opposés au maintien d'un programme européen d'aide aux démunis dont bénéficient les associations caritatives ont campé jeudi sur leurs positions et la France s'est dite pessimiste sur les chances d'empêcher une réduction drastique de ces fonds. D'intenses négociations étaient en cours lors d'une réunion des ministres européens de l'Agriculture à Luxembourg sur l'avenir du PEAD, qui permet de fournir près de 500 millions d'euros d'aide alimentaire aux organisations caritatives européennes, mais menacé dès l'an prochain d'une réduction automatique de près de 80%. "Il n'y aucun mouvement dans les positions des uns et des autres", indiquait à la mi-journée un diplomate européen. "Je ne suis pas confiant", a confié le ministre français Bruno Le Maire aux journalistes, à son arrivée à Luxembourg, reconnaissant s'être "heurté à un mur" lors des négociations avec les Etats opposés à ce programme.



Très chères ordures ménagères




Une plus grande transparence et la mise en place d'indicateurs de performance, c'est ce que demande l'UFC-Que Choisir, dans un communiqué publié jeudi. L'association de consommateur déplore que les Français paient en moyenne trop cher la gestion de leurs ordures ménagères.

Le produit de la taxe d'élimination des ordures ménagères (TEOM), acquittée dans 24.600 communes, a progressé de 7,1% en 2009 à 5,4 milliards d'euros, révèle le président de l'association Alain Bazot. Le montant de la taxe a quadruplé en moins de vingt ans, sans "augmentation exponentielle des déchets à éliminer" dans le même temps, a-t-il souligné. Des coûts qui peuvent justifier une certaine augmentation, comme des mesures d'évacuation plus drastiques des fumées lors du traitement, ne justifient pas ces fortes hausses, selon l'UFC-Que Choisir.

Fortes disparités entre les communes

L'association, qui a étudié les disparités de service dans 150 communes, regrette le manque de transparence. Elle n'a pu obtenir les rapports sur le prix et la qualité de gestion des déchets que dans 92 de ces communes. Certains rapports se sont révélés très lacunaires. Près de la moitié ne mentionnaient même pas le coût de la collecte à la tonne ni celui du traitement. "Les collectivités pilotent sans tableau de bord", déplore l'UFC.

Dans les 92 collectivités communiquant les rapports, l'association a calculé que le coût réel du service s'est établi à 99 euros par habitant. Cette moyenne "cache de fortes disparités locales" à structure d'habitat et service comparables: le coût à la tonne de déchets peut aller de 70 euros pour Lyon à 149 euros pour Marseille.



Source: http://lci.tf1.fr
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MessageSujet: Re: L'actualité du 20 octobre 2011   L'actualité du 20 octobre 2011 Icon_minitimeJeu 20 Oct - 17:12

Un professeur sur six en «burn-out»



Une semaine après le suicide d'une enseignante à Béziers, une étude révèle que 17% des professeurs sont victimes d'épuisement, contre 11% dans les autres professions. Les jeunes en dessous de 30 ans sont les plus exposés.

Les professeurs de collèges et lycées sont 17% à être touchés par le «burn-out», ce phénomène d'épuisement physique, mental et émotionnel, contre 11% dans les autres professions, révèle une étude de deux spécialistes publiée dans Le Monde daté de jeudi. «Près de 30% des enseignants interrogés ont dit songer, souvent, à quitter le métier», explique Georges Fotinos, ancien inspecteur général de l'Education nationale et coauteur de cette enquête réalisée auprès de 2100 personnels de 400 établissements. «Les différences entre les sexes et entre les établissements -en zone urbaine, en zone rurale, en ZEP...- sont moins déterminantes que le facteur âge. Les jeunes en dessous de 30 ans sont plus exposés», ajoute-t-il.

Crise de l'autorité, classes parfois surchargées et plus hétérogènes qu'il y a 20 ans, manque de soutien de l'institution, difficultés face au rythme des réformes, quasi-absence de médecine de prévention, manque d'organisation des enseignants eux-mêmes en collectifs de travail... Telles sont les raisons avancées par les professeurs pour expliquer ces sentiments d'impuissance et de solitude.

Ce n'est pas un hasard si les enseignants sont les seuls, avec la police, à bénéficier des services d'un établissement psychiatrique dédié, l'Institut Marcel-Rivière surnommé «la Verrière», dans les Yvelines. Près de 1000 patients s'y font soigner chaque année.

Les souffrances et l'épuisement de nombreux enseignants ont été largement mis en lumière depuis le suicide la semaine dernière d'une professeure dans son lycée de Béziers.

Sentiments d'usure, d'impuissance et d'abandon.
Au-delà des syndicats, qui pour beaucoup ont parlé d'un «drame révélateur du malaise enseignant», le père et les collègues de Lise Bonnafous, 44 ans, ont dit que son geste dépassait sa seule personne. «Son message désespéré était celui-ci: il faut refonder, à tout prix, une nouvelle et authentique école de la République, celle où primaient les valeurs du civisme et du travail; celle où le professeur était au centre de tout; celle où l'enfant du peuple pouvait devenir fils de roi», a écrit le père dans un mail adressé à Midi Libre et publié mercredi. «Son geste appelle à la solidarité de l'ensemble des personnels et témoigne de notre difficulté à accomplir notre mission. Nous attendons donc l'engagement responsable de nos autorités. Nous pensons très fort à Lise», avaient déclaré ses collègues dès vendredi.

Selon Françoise Lantheaume, sociologue à Lyon-2, «il y a des souffrances extra-ordinaires, comme celle de cette femme, mais elles sont rares. Et il y a des souffrances ordinaires: les enseignants français expriment massivement des sentiments d'usure, d'impuissance et d'abandon». «Je l'ai constaté il y a une dizaine d'années déjà en collèges et lycées, je le vois maintenant en primaire», a-t-elle ajouté.

Manque de prévention

Les syndicats avancent le chiffre de 39 suicides par an pour 100.000 enseignants. Mais le ministère de l'Education nationale a contesté mercredi ces statistiques. Citant une enquête de sa direction générale des ressources humaines, ont été recensés «52 cas de suicides de septembre 2008 à septembre 2009 sur une population de 857.000 enseignants, soit un peu plus de 6 cas de suicides pour 100.000 enseignants». «Rien ne semble indiquer en l'état une évolution à la hausse du taux de suicide sur ces dernières années», a déclaré une porte-parole.

Après chaque cas de suicide, les syndicats rappellent qu'aucun dispositif de prévention du stress n'existe, puisque, contrairement aux salariés de droit privé, les enseignants ne bénéficient pas d'une visite médicale annuelle.

A son arrivée au ministère en 2009, Luc Chatel avait pourtant fait de la santé et du suivi des enseignants une priorité, dans le cadre de son «pacte des carrières». Mais les moyens n'ont pas été au rendez-vous, selon les syndicats. Seuls 17 des 80 médecins de prévention promis en 2010 ont été effectivement recrutés, explique Elizabeth Labaye, chargée des questions de santé au Snes-FSU, notamment car ce métier «n'est pas attractif».

«Les conditions de travail sont catastrophiques car il y a en moyenne plus de 10.000 agents de l'Education nationale par médecin». Ceux-ci sont donc «submergés, notamment avec le développement des risques psycho-sociaux» et «ne reçoivent que les personnels en urgence», sans pouvoir faire de prévention. «On a acquis des directeurs des relations humaines mais ils n'ont pas de réponses à ce type de situation. Tout simplement parce que cela a un coût», a relevé Philippe Tournier du SNPDEN-Unsa, principal syndicat des chefs d'établissements.


Source: http://www.lefigaro.fr
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MessageSujet: Re: L'actualité du 20 octobre 2011   L'actualité du 20 octobre 2011 Icon_minitimeJeu 20 Oct - 17:13

Hauts revenus/taxe: vote de l'Assemblée




L'Assemblée a voté hier soir une taxe exceptionnelle sur les hauts revenus de 3% pour les revenus compris entre 250.000 et 500.000 euros et de 4% au-delà dans le cadre de l'examen du projet de loi de Finances 2012, une taxe dénoncée comme "cosmétique" par l'opposition.

Les députés ont donc avalisé le compromis trouvé la semaine dernière entre Matignon et la majorité parlementaire: abaisser le seuil de 500.000 à 250.000 euros (par part), taxer à 4% au-delà de 500.000, et ce jusqu'au retour à l'équilibre des finances publiques. Estimant que cette taxe était "le gros sujet de la loi de Finances", la ministre du Budget, Valérie Pécresse, a mis en avant la justice de cette mesure. "Elle a pour cible les très hauts revenus dans toutes leurs composantes", a-t-elle expliqué.

Alourdie, cette taxe devrait toucher autour de 25.000 foyers, contre moins de 10.000 dans sa précédente version, et rapporter 410 millions au budget de l'Etat soit le double que prévu. "J'ai lu qu'on dit que c'est dérisoire, mais c'est malhonnête, cela fait 20.000 euros en moyenne par ménage", a expliqué le rapporteur général du Budget, Gilles Carrez (UMP). Et cette taxe est assise sur "le revenu fiscal de référence" qui prend en compte "les revenus de travail et du capital", a-t-il lancé.

Le PS a continué de dénoncer une taxe "cosmétique". "Je veux bien que vous fassiez un numéro toute la soirée en disant +on taxe les riches+ alors qu'au mois de juin vous avez sorti la moitié des contribuables (de l'ISF) pour 1,8 milliard d'euros. Ce cinéma, ce soir, c'est pour dire on va leur prendre 400 millions!", a lancé Henri Emmanuelli (PS). François de Rugy (EELV) a lui calculé que pour "un célibataire qui gagnerait juste en dessous de 500.000 euros, soit 40.000 euros par mois, vous allez lui demander 625 euros par mois!".



Source: http://www.lefigaro.fr
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MessageSujet: Re: L'actualité du 20 octobre 2011   L'actualité du 20 octobre 2011 Icon_minitime

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