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| | L'actualité de 14 novembre 2011 | |
| | Auteur | Message |
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chuzzle Animateur
Messages : 3071 Date d'inscription : 25/08/2010 Age : 50 Localisation : Moselle
| Sujet: L'actualité de 14 novembre 2011 Lun 14 Nov - 13:12 | |
| Arrêt-maladie : un jour de carence instauré pour les fonctionnaires ?
Annonçant lundi un deuxième plan de rigueur de 7 milliards d'euros en moins de trois mois après une révision en baisse de la croissance pour 2012, le Premier ministre François Fillon a déclaré que les dépenses de l'Etat seraient réduites de 500 millions d'euros supplémentaires en 2012. Comment ? Le quotidien La Tribune croit savoir que le gouvernement prépare l'instauration d'une journée de carence pour les fonctionnaires en cas d'arrêt maladie. Le délai de carence ne s'applique aujourd'hui qu'au secteur privé, où il est de trois jours. Il correspond à la période au terme de laquelle le salarié peut prétendre à indemnisation journalière de sa caisse d'assurance maladie.
Le gouvernement prévoit également de restreindre ses dépenses de communication et de représentation, de raboter davantage les crédits de chaque ministère et d'"intensifier son programme immobilier", croît savoir La Tribune. En matière immobilière, il s'agit d'accélérer les cessions "mais aussi de rationaliser les dépenses", selon le journal.
Source: http://lci.tf1.fr | |
| | | chuzzle Animateur
Messages : 3071 Date d'inscription : 25/08/2010 Age : 50 Localisation : Moselle
| Sujet: Re: L'actualité de 14 novembre 2011 Lun 14 Nov - 13:14 | |
| 58% des Français renoncent à consulter un spécialiste à cause de l'attente
Les patients se plaignent de devoir patienter plusieurs mois pour obtenir un rendez-vous chez un ophtalmologiste ou un gynécologue. Les praticiens déplorent, de leur côté, une disponibilité des patients non concordante avec celle des médecins. Les patients s'impatientent. 58% des Français disent avoir renoncé à aller voir un médecin spécialiste parce que le délai était trop long pour obtenir un rendez-vous, selon un sondage Ifop pour le cabinet conseil Jalma, publié ce dimanche dans le journal du Dimanche. Selon les personnes interrogées, il faut en moyenne patienter 103 jours pour voir un ophtalmologiste, 51 jours pour un gynécologue, 38 jours pour un dermatologue, 29 ou 28 pour un cardiologue, un ORL, un psychiatre ou un rhumatologue. Il faut parfois plus de temps, selon le sondage, pour obtenir une consultation d'un spécialiste en milieu hospitalier qu'en libéral: 31 jours pour un cardiologue hospitalier, 29 jours pour un libéral, 21 jours pour un radiologue en hôpital, 13 jours pour un libéral. Quand l'attente semble trop longue, il reste la solution des urgences hospitalières: 27% des sondés avouent y avoir eu recours pour des raisons de délai ou de coût. Si 58% des personnes interrogées disent avoir renoncé au moins une fois à un rendez-vous avec un spécialiste à cause des délais, elles sont 33% à l'avoir fait plusieurs fois. Quelque 28% ont renoncé à cause de l'éloignement géographique. On constate un fort décalage entre la perception des Français et la réalité Pour voir un médecin généraliste, le délai est beaucoup plus court et s'élève à quatre jours. Toutefois, 15% des sondés disent avoir renoncé à un rendez-vous avec un généraliste en raison de la distance à parcourir pour se rendre à son cabinet. La perception de ces délais d'attente est cependant différente selon qu'on interroge les patients et les praticiens. En effet, le cabinet Jalma a mené une enquête auprès de 600 médecins qui donne des résultats différents. "On constate un fort décalage entre la perception des Français et la réalité. Les délais de rendez-vous proposés par les médecins sont beaucoup plus courts. Ce qui veut dire que les praticiens et leurs patients ne sont pas disponibles aux mêmes moments", analyse dans le JDD Mathias Matallah, président de Jalma. Et de proposer que les spécialistes s'adaptent aux horaires de leurs patients: "Beaucoup vont détester ce parallèle mais les spécialistes doivent faire la révolution du service sur le modèle de la grande distribution", argumente-t-il.
Source: http://www.lexpress.fr | |
| | | chuzzle Animateur
Messages : 3071 Date d'inscription : 25/08/2010 Age : 50 Localisation : Moselle
| Sujet: Re: L'actualité de 14 novembre 2011 Lun 14 Nov - 13:16 | |
| La prime pour l'emploi coûtera moins cher à l'État
Le nombre de foyers concernés par ce coup de pouce aux bas salaires va passer en deça des sept millions en 2011, pour un montant de 2,9 millions d'euros, selon Les Echos. Une baisse qui devrait se poursuivre en 2012.
Debut septembre, un rapport de l'Inspection générale des finances jugeait la prime pour l'emploi (PPE) peu efficace, et le gouvernement envisageait une nouvelle fois de la geler l'année prochaine, comme il le fait depuis 2008, pour réduire son poids dans les finances publiques. Selon le quotidien Les Echos, le ministère de l'Économie table sur un coût ramené à 2,5 milliards d'euros en 2012, contre 2,9 milliards cette année. Soit quasiment deux fois moins qu'en 2008, quand il avait atteint 4,5 milliards d'euros.
L'impact du RSA La prime, versée sous forme de crédit d'impôt, continuera à bénéficier aux personnes percevant entre 3743 euros et 17.451 euros de revenus d'activité pour un célibataire et jusqu'à 26.572 euros pour un couple dont seul l'un des conjoints travaille. En 2005, le dispositif concernait ainsi 9 millions de personnes. En 2011, seules 6,7 millions de foyers resteront dans les bornes du barème, après 7,28 millions en 2010. Du fait du gel annoncé pour 2012, le nombre de bénéficiaires devrait encore se réduire l'année prochaine.
La création du revenu de solidarité active (RSA) est aussi responsable de la marginalisation de la PPE. Créé en 2009 par Martin Hirsch, le dispositif vise la même frange de la population, et est attribué en priorité. Ce complément de revenu est donc pris en compte pour l'attribution de la prime pour l'emploi, ce qui a pour conséquence de faire sortir un certain nombre de foyers du spectre de la PPE... et de faire grossir les rangs des détracteurs qui - à gauche comme à droite - critiquent «l'effet saupoudrage», et réclament la fusion des deux aides.
Source: http://www.lefigaro.fr | |
| | | chuzzle Animateur
Messages : 3071 Date d'inscription : 25/08/2010 Age : 50 Localisation : Moselle
| Sujet: Re: L'actualité de 14 novembre 2011 Lun 14 Nov - 21:47 | |
| Un détartrage régulier réduirait les risques d'infarctus
Un sourire éclatant, pas seulement pour séduire mais pour vivre plus longtemps ? Un détartrage et nettoyage régulier des dents réduiraient le risque de crise cardiaque et d'attaque cérébrale de 24 % et de 23 % respectivement, par rapport à des personnes n'ayant jamais eu de soins dentaires. C'est ce que révèle une étude de cardiologues taïwanais réunis dimanche à Orlando, aux Etats-Unis, pour la conférence annuelle de l'American Heart Association.
Cette étude a été menée sur 100.000 personnes, suivies pendant sept ans. Parmi les participants, plus de 51.000 ont subi au moins un détartrage dentaire. Les médecins considèrent un détartrage des dents fréquent s'il est pratiqué au moins deux fois ou plus en deux ans. Aucun des participants à cette étude n'a été victime d'une crise cardiaque ou d'une attaque cérébrale au début de cette recherche, précisent les auteurs. "La protection contre des maladies cardiovasculaires et des accidents vasculaires cérébraux était plus prononcée chez les participants qui se sont fait détartrer les dents au moins une fois par an", indique la Dr Emily Chen, cardiologue à l'Hôpital général des anciens combattants à Taïpei, un des principaux auteurs de ces travaux. Saigner des gencives accroît le risque cardiaque Avant cette étude, une mauvaise hygiène dentaire était déjà liée par la médecine à un risque cardiovasculaire accru. Le nettoyage et détartrage régulier des dents paraît réduire le développement dans la cavité buccale de bactéries responsables d'inflammation pouvant contribuer au développement de maladies cardiovasculaires, selon ces chercheurs. Une autre étude suédoise ayant porté sur près de 8.000 participants, présentée également à Orlando dimanche, montre que les maladies des gencives sont de bons indicateurs des risques cardiovasculaires et d'attaque cérébrale. Ainsi les personnes comptant moins de 21 dents sur le nombre normal de 32, avaient dans cette recherche un accroissement de 69% du risque d'attaque cardiaque comparé à deux qui avaient le plus de dents. Les participants avec le nombre le plus élevé de poches péridontales, une infection de la gencive autour de la dent, ont vu leur risque de maladies cardiovasculaires grimper de 53% comparativement à ceux avec le moins de ces infections. Les participants avec le plus petit nombre de dents ont vu leur risque d'insuffisance cardiaque multiplier par 2,5. Enfin, les sujets de l'étude dont le nombre de saignements des gencives était le plus fréquents avaient un risque d'attaque cérébrale multiplié par 2,1 comparé à ceux qui en avaient le moins. Cette recherche a surtout été conduite par le Dr Anders Holmlund, un chirurgien dentiste.
Source: http://lci.tf1.fr | |
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| Sujet: Re: L'actualité de 14 novembre 2011 | |
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