Il prend un PV pour excès de vitesse en tricycle
Pierre Delorme, s'est rendu ce jeudi matin au tribunal pour contester un PV qui lui a été adressé le 30 avril dernier alors qu'il roulait au parc de la Tête-D'or, situé à Lyon, avec... un tricycle. Ce véhicule monoplace, appelé vélomobile, lui permet de pédaler coucher et d'avancer jusqu'Ã 40km/h.
La police municipale lui avait dressé un PV pour sanctionner une vitesse atteignant 30km/h dans un parc public, alors qu'elle est limitée à 10km/h. Le verbalisé conteste vigoureusement, et explique pourquoi à Metro : "Je reconnais que le ton est monté, mais c'est parce qu'ils ont dit beaucoup d'âneries, comme affirmer qu'ils ont eu du mal à me rattraper en voiture. Ce n'est pas crédible. Un joggeur va plus vite que 10 km/h."
Son avocat, Maître Christophe Braschi, affirme quant à lui que son client est une victime : "Il a été victime d'un délit de 'drôle de gueule'. Son véhicule interpelle. Il aurait circulé de la même façon à vélo, personne ne lui aurait rien dit". Pierre Delorme risque jusqu'à 38 euros d'amende.
Ils voient défiler 12 professeurs différents en seulement 15 jours
Une classe d'écoliers de l'Aveyron qui regroupe des élèves de CE2, CM1 et CM2 a vu 12 instituteurs différents par jour pendant deux semaines, en raison de la grippe et de gastroentérite. Lire la suite l'article
Dans l'Aveyron, le village de Montsalès subit une véritable hécatombe dans son corps professoral. En deux semaines, les écoliers d'une classe de primaire, qui regroupe une trentaine d'élèves de CE2, CM1 et CM2, ont vu défiler pas moins de 12 professeurs. Tous sont tombés malade d'une grippe ou d'une gastroentérite, obligeant l'inspection académique à recourir chaque jour à un nouvel enseignant.
"Les remplaçants de l'institutrice malade ne sont jamais les mêmes (...) Les enfants en ont ras-le-bol, tout change, ils doivent s'adapter, (...). Le dernier instituteur a été nommé pour trois heures!", a expliqué à l'AFP la délégué des parents-d'élèves de cette commune de 244 habitants.
De leur côté, les pouvoirs publics reconnaissaient une situation embarrassante mais exceptionnelle. "L'Éducation nationale a donc dû recourir à des remplaçants dans les rangs desquels on a constaté une recrudescence de grippes et de gastroentérites (...) Il y n'y a pas eu de journée où il n'y a pas eu d'enseignants; le problème, c'est qu'ils sont tombés malades les uns après les autres", a déclaré l'inspection académique de l'Aveyron.
Source: http://fr.news.yahoo.com/