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 L'actualité du 26 mai 2011

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chuzzle
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MessageSujet: L'actualité du 26 mai 2011   L'actualité du 26 mai 2011 Icon_minitimeJeu 26 Mai - 17:34

Cette bactérie tueuse qui inquiète l'Allemagne



Elle a pour nom E.coli enterohémorragique (Eceh). Et cette bactérie qui se niche dans certains légumes et dans la viande crue est soupçonnée d'avoir déjà provoqué quatre morts en Allemagne. Les autorités sanitaires allemandes ont lancé une mise en garde et la ministre de l'Agriculture, Ilse Aigner, a jugé la présence de ce micro-organisme dans certains aliments "vraiment préoccupante".


Cette bactérie peut causer des hémorragies dans le système digestif, voire des troubles graves appelés syndrome hémolytique et urémique (SHU). Ce qui se traduit par des diarrhées et du sang dans les selles, des maux de tête et de vives douleurs au ventre. Récemment, le Robert Koch Institut (RKI), établissement fédéral chargé de la surveillance et de la lutte contre les maladies, a dénombré 140 cas de SHU en Allemagne, soit plus du double du chiffre enregistré en 2010 (65). Mais c'est surtout le court laps de temps au cours duquel ces cas se sont déclarés - 15 jours - qui a alerté les autorités sanitaires.

Laver les légumes ne suffit pas toujours

La transmission à l'homme de cette bactérie se fait par la consommation d'aliments contaminés, viande hachée crue ou mal cuite, lait cru mais aussi salades et légumes. Laver les légumes ne suffit pas toujours, et le RKI recommande de cuire au moins pendant 10 minutes à 70° les aliments pour réduire les risques de contamination.

"Les premiers résultats des analyses du Robert Koch Institut laissent penser que la consommation de tomates, concombres et salades crus sont à l'origine des cas récents d'infection", a annoncé la ministre allemande de l'Agriculture, qui est aussi chargée de la protection des consommateurs.

A Francfort, l'Office sanitaire a indiqué avoir fermé à titre préventif deux cantines d'une société de conseils où des produits alimentaires contaminés pourraient avoir été livrés. La filiale allemande du groupe français Sodexo, numéro un mondial de la restauration collective, avait indiqué pour sa part lundi que "des salariés et des clients" étaient touchés par la bactérie. Face à l'inquiétude, de nombreux journaux allemands ont déjà publié des conseils de prévention.




Logement ancien à Paris : le cap des 8000 euros/m2 s'approche




Les premiers mois de 2011 ont peut-être montré une baisse en province, mais les prix de l'immobilier continuent à battre des records à Paris. En témoigne la dernière étude de la chambre des notaires d'Ile-de-France, publiée jeudi. Avec un chiffre qui donne le vertige : 8000 euros le m2. C'est la moyenne que devraient atteindre, et probablement dépasser, les prix des logements anciens de l'agglomération parisienne au cours du deuxième trimestre 2011.

La flambée des prix dans la capitale française se poursuit malgré une baisse des transactions des logements anciens (-12% au premier trimestre par rapport au trimestre correspondant de 2010), indique cette étude trimestrielle. Avec un prix moyen de 7780 euros/m2 au premier trimestre 2011, soit une flambée de 20,8% sur un an pour les appartements anciens, Paris intra-muros établi un nouveau record, à la suite d'une nouvelle progression de 5,6% en un trimestre. Se basant sur les avant-contrats reçus dans leurs études jusqu'à fin avril, les notaires estiment donc que le prix moyen des actes notariés lors de la vente définitive dépassera bientôt "le cap des 8000 euros".

+14,6% dans la petite couronne

Pour l'ensemble de l'Ile-de-France, la hausse des prix des appartements anciens atteint en moyenne 16,5%, en variation annuelle, au premier trimestre, par rapport à même période de 2010, pour atteindre un prix moyen de 5290 euros/m2. L'augmentation est de 14,6% dans la "petite couronne" (Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis et Val-de-Marne) mais seulement de 8,2% dans la "grande couronne" (Seine-et-Marne, Yvelines, Essonne et Val-d'Oise).

Les maisons ont pour leur part dépassé le cap psychologique des 300.000 euros en moyenne pour atteindre 302.200 euros, soit une hausse de 8,3% en un an (+6,7% dans la grande couronne, +11,7% dans la petite couronne).

Le nombre des transactions, après une fin d'année 2010 très active, est en baisse dans la région (-4%) par rapport au 1er trimestre 2010. La baisse est surtout marquée (-8%) dans l'ancien car le neuf est toujours porté par les mesures fiscales pour les investisseurs achetant pour louer.



Source: http://lci.tf1.fr/
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MessageSujet: Re: L'actualité du 26 mai 2011   L'actualité du 26 mai 2011 Icon_minitimeJeu 26 Mai - 17:36

Sécheresse : les agriculteurs ne peuvent plus s'assurer



L'assurance-récolte ne peut plus être souscrite depuis que la sécheresse est avérée. Facultative, elle ne couvre que 30% des surfaces. Les grandes cultures sont au pied du mur.

Alors que la France traverse une période exceptionnelle de sécheresse, les agriculteurs ne peuvent plus s'assurer contre les risques climatiques. Puisque la pénurie d'eau et les températures supérieures aux normales saisonnières ne sont plus un aléa, mais une réalité depuis le mois d'avril, il est trop tard pour s'assurer. L'article 1964 du Code civil exige, en effet, que le contrat d'assurance repose sur «un événement incertain». Ce qui n'est plus le cas de la sécheresse. «Dans toutes les régions, à l'exception du Sud Est et Sud Ouest, cette sècheresse a déjà occasionné des pertes de rendements, les cultures étant déjà à un stade sensible», détaille Groupama, premier assureur de l'agriculture française qui compte 61.000 contrats multirisques sur les 70.000 souscrits en France. «Il a donc été décidé de stopper la souscription des contrats Climats, en affaires nouvelles».

Pacifica, la filiale de Crédit Agricole, et Axa France ont, elles aussi, arrêté la souscription au mois d'avril. Elles tiennent à rester très discrètes sur cette décision, et se contentent de souligner que, bien que certains, les dégâts de la sécheresse, intervenue exceptionnellement tôt dans l'année, sont impossibles à estimer jusqu'à la moisson.

Rien ne change, bien sûr, pour les agriculteurs qui avaient déjà signé leur contrat en début d'année. Seulement, il s'agit d'une minorité de la profession. L'assurance-récolte privée n'est en effet pas obligatoire. Depuis la loi de modernisation de l'agriculture et de la pêche adoptée en juillet 2010, l'État encourage son développement mais, à l'heure actuelle, elle ne concerne qu'«un petit peu moins de 30% des surfaces», selon Stéphane Gin, directeur Assurance agricole chez Groupama. « Il est certain que les non-assurés sont plus nombreux que les assurés », confirme Frédéric Gudin du Pavillon, directeur adjoint des assurances de biens et responsabilité à la Fédération française des sociétés d'assurance (FFSA). Selon celle-ci, 100.000 agriculteurs étaient couverts contre les multirisques climatiques en 2009.

Le Fonds de garantie des calamités agricoles réuni en juin
Quelles aides, donc, pour les agriculteurs, dont le revenu reste inférieur «de 10 à 15% au revenu moyen des Français» selon Bruno Le Maire, ministre de l'Agriculture? Ce dernier a annoncé qu'il réunirait le Fonds de garantie des calamités agricoles (FNGCA) fin juin. Cofinancé par l'État et les agriculteurs via des taxes sur les contrats d'assurance, ce «filet de sécurité» selon le ministère avait déboursé 600 millions d'euros pour indemniser les agriculteurs après la sécheresse de 2003. Cela correspondait alors à un dommage de l'ordre de 2 milliards d'euros. En moyenne, le montant des indemnisations, en particulier dû au gel, s'élevait à 200 millions d'euros par an de 2000 à 2009.

Mais là aussi, tout le monde n'est pas concerné. Le FNGCA ne s'appliquant pas aux secteurs assurables, les grandes cultures, notamment les céréales, n'en bénéficient pas depuis 2009. Ni la viticulture depuis cette année. Son aide sera cependant précieuse aux producteurs de fourrage, dont les rendements ont diminué de 30 à 50% selon la FNSEA, le principal syndicat agricole. Si l'exploitant déplore au moins 30% de pertes sur la production concernée et que celles-ci représentent au moins 13% du résultat de l'ensemble de l'exploitation, il pourra recevoir une indemnisation, en moyenne autour de 25 à 28% de ses pertes.

Enfin, la procédure prendra du temps. Fin juin, chaque préfet désignera une mission d'enquête qui sera chargée d'évaluer les conséquences de la sécheresse dans le département, notamment les pertes et le nombre d'agriculteurs concernés. Leur rapport sera ensuite adressé au ministère de l'Agriculture qui enverra ses propres experts vérifier les dégâts. Si la demande de reconnaissance de calamité agricole est acceptée, un arrêté sera publié, et les agriculteurs auront alors un mois pour présenter leurs dossiers d'indemnisation...

Versement anticipé des aides européennes
D'ici là, alors que la situation empire de jour en jour faute de pluies, plusieurs mesures d'urgence ont été adoptées. Le ministre de l'Agriculture a ainsi autorisé les éleveurs à utiliser toutes les jachères pour nourrir leur bétail et à faucher, avant la date initiale du 15 juin. Surtout, Paris a demandé à Bruxelles le versement anticipé des aides financières pour aider les éleveurs, notamment la «prime à la vache allaitante», reçue habituellement mi-octobre.

Un impôt-sécheresse, sur le modèle de celui de 1976, année-référence de la sécheresse en France, n'est pas pour l'instant à l'ordre du jour, a indiqué la ministre de l'Écologie Nathalie Kosciusko-Morizet. La FNSEA, le principal syndicat agricole, ne réclame pas pour sa part un tel impôt, qui serait impopulaire selon son président Xavier Beulin. Celui-ci souhaiterait parvenir à un accord avec les assureurs pour souscrire des contrats sur plusieurs années afin de mutualiser les risques. Seule consolation pour le moment pour les agriculteurs: les prix des matières premières se maintiennent toujours à des sommets, et la tendance devrait se poursuivre avec la baisse de production annoncée.

Source: http://www.lefigaro.fr
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