Elle apporte le pénis de son violeur à la police
Au Bangladesh, une femme a réussi à couper le pénis de l'homme qui tentait de la violer et l'a apporté comme preuve à la police !
Irréfutable !
Mariée et mère de trois enfants, elle s'est fait attaquer samedi soir alors qu'elle dormait dans sa maison du district de Jhalakathi, par un homme qui la harcelait depuis 6 mois.
"Alors qu'il tentait de la violer, la femme lui a coupé le pénis avec un couteau. Elle a ensuite enveloppé son membre dans un bout de plastique et l'a apporté au poste de police de Jhalakathi comme preuve du crime" rapporte Le Figaro.
La victime a, bien sûr, déposé plainte pour "tentative" de viol
Quand à l'homme, il a été admis à l'hôpital pour recevoir des soins.
On ne sait pas si le pénis qui a été conservé par la police comme pièce à conviction sera remis à son propriétaire...
Source: http://fr.news.yahoo.com
Chanter du Brassens peut être illégal !
Un homme ayant chanté du Brassens à des policiers s’est vu condamné à une amende et à des travaux d’intérêt général... en cause? Les paroles, assez peu respectueuses des figures de l’autorité.
Cela peut paraître étonnant, mais chanter du Georges Brassens peut être considéré comme illégal : un homme a en effet été condamné à des travaux d’intérêt général et une amende pour avoir chanté Hécatombe à des policiers, rapporte Ouest France. C’est dans la nuit du 24 juillet 2009 qu’un Rennais de 29 ans, depuis la fenêtre de son appartement cherbourgeois, a chanté une sérénade à trois policiers qui n’ont pas tellement apprécié.
Le 27 mai dernier, le tribunal correctionnel de Cherbourg a traité son cas. Le procureur a déclaré : "Interpréter cette chanson devant un miroir, pourquoi pas... Devant des policiers, c’est un outrage".
Hécatombe, un titre peu flatteur pour la police
Ivre, l’homme avait effectivement choisi une chanson assez peu respectueuse à l’égard des policiers. Pour ceux qui ne la connaissent pas, il est question dans Hécatombe de la triste destinée d’agents tentant de s’interposer entre des "mégères gendarmicides". Le narrateur se réjouit du massacre dont il est témoin, criant "hip hip hip, hourra" à l’idée de voir les agents devenir des "macchabées". La fin de la chanson est davantage insolente encore, allant jusqu’à se moquer des attributs masculins des policiers.
"Mon client avait bu"
Vendredi, le chanteur amateur a reconnu les faits mais s’est défendu : "Ce n’était pas directement destiné aux policiers !". Son avocat a quant à lui expliqué : "Tout le monde n’a pas le talent de Brassens. Mon client avait bu." Finalement, le prévenu aura été condamné à des travaux d’intérêt général d’une durée de 40h, et devra verser 100 euros à deux policiers. Peut-être que la prochaine fois son choix de chanson sera plus judicieux quand il adressera une ode aux policiers !
Source: http://www.gentside.com