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 L'actualité du 7 juin 2011

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chuzzle
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chuzzle


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MessageSujet: L'actualité du 7 juin 2011   L'actualité du 7 juin 2011 Icon_minitimeMar 7 Juin - 21:42

Vers un congé paternité plus long ?



Et si les hommes et les femmes étaient autant impliqués l'un que l'autre lorsque le couple accueille un enfant ? C'est en tout cas ce que prône l'Inspection générale des affaires sociales (Igas) dans un rapport consacré à "l'égal accès des femmes et des hommes aux responsabilités professionnelles et familiales dans le monde du travail", remis mardi à Roselyne Bachelot, ministre des solidarités et de la cohésion sociale. Car selon une étude de l'OCDE publiée cette année, les Françaises passent une heure quarante par jour en moyenne à s'occuper de leurs enfants contre 42 minutes pour les pères.

Pour Brigitte Grésy, membre de l'Igas, "l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes, et dans son sillage, l'égalité sociale, ne peut être atteinte tant qu'il y aura inégal partage des responsabilités domestiques et familiales". L'Igas a ainsi établi une série de 25 propositions chargées de mieux promouvoir l'égalité des sexes à la maison et au travail. Parmi elles, la création d'un "congé d'accueil de l'enfant" de 8 semaines, réparti à égalité entre le père et la mère - un mois chacun - à prendre "immédiatement après le congé maternité". Le congé maternité, actuellement de seize semaines, serait alors découpé entre un congé maternité de douze semaines et un "congé d'accueil" d'un mois. Le congé paternité passerait lui de onze jours à un mois, mais ne deviendrait pas pour autant obligatoire, précise le rapport.

Un congé parental ramené à un an

Si le père prend intégralement son congé, les parents pourraient bénéficier d'un "bonus" d'une semaine, à prendre indifféremment par le père ou la mère jusqu'au un an de l'enfant. Mais impossible pour la mère de récupérer le mois de congé du père, et inversement, car "si l'un des parents ne prend pas sa période réservée, elle est perdue pour l'autre parent". Une manière de pousser les pères à prendre ce congé.

Pour inciter les femmes à reprendre plus rapidement le travail après leur grossesse, le rapport propose de raccourcir le congé parental à un an, au lieu de trois ans maximum aujourd'hui. Cette année serait alors mieux rémunérée à hauteur de 60% du salaire brut plafonné contre un forfait allant de 140 à 550 euros par mois environ actuellement. Il suggère également de faciliter le passage des temps partiels aux temps pleins, et inversement ou d'assouplir les possibilités pour les salariés de modifier la date des jours de repos, en cas d'obligation familiales, ou d'instaurer pour les pères des autorisations d'absence pour accompagner leur compagne lors d'examens médicaux obligatoires dans le cadre de la grossesse.

Ces propositions seront discutées dès le 28 juin, lors d'une conférence réunissant l'Etat, les syndicats et le patronat.



Source: http://lci.tf1.fr/


Stagiaires: un pas décisif vers la fin des abus?



Patronat et syndicats se sont mis d'accord sur un délai de carence pour empêcher de remplacer immédiatement un stagiaire par un autre étudiant sur un même poste de travail. Explications
Article préalablement publié sur L'Expansion.com
C'est un texte qualifié de modeste mais qui augure quand même de réels changements au sein des entreprises. Le patronat, la CFDT, la CFTC et la CFE-CGC ont signé ce mardi un accord sur "l'accès des jeunes aux formations en alternance et aux stages", troisième volet de négociations sur l'emploi des jeunes. Or la partie consacrée au stage prévoit un "délai de carence" entre l'accueil de deux stagiaires sur un même poste. Une mesure réclamée depuis longtemps par les associations d'étudiants, mais rejetée jusque là, notamment en 2004, comme le rappelle le site Net-Iris. Le gouvernement craignait alors que la mesure ne dissuade les employeurs de former des stagiaires.
"Ce qu'il vient de se passer n'est pas anodin, même si l'on aurait pu aller plus loin, confirme Laurent Berger, secrétaire national de la CFDT, qui espère que la mesure sera approuvée lors du vote de la loi sur l'apprentissage et l'emploi des jeunes. "On va faire ce qu'il faut pour convaincre les parlementaires", assure-t-il.
Bien que défini comme "une période de formation pratique complémentaire à la formation académique", le stage se substitue souvent à d'authentiques postes de travail. L'accord signé par les partenaires sociaux devrait empêcher à termes que les stagiaires ne se relayent indéfiniment pour remplacer un salarié à peu de frais. Le délai de carence sera égal au tiers de la durée du stage, alors que le patronat ne proposait qu'un cinquième. Après un stage de six mois par exemple, un employeur ne pourra faire travailler un autre stagiaire sur le même poste pendant deux mois.
Vocation pédagogique du stage
"C'est très positif, se félicite aussi Guillaume, de Génération précaire. Permettre de remplacer un stagiaire par un autre sur un même poste était la preuve évidente que l'on détournait la vocation pédagogique du stage." Pour ce porte-parole du collectif, cette mesure "réaffirme l'idée que le stage sert à former un jeune et non à se substituer à un poste permanent. Elle va mettre une pression sur certains managers qui avaient pris l'habitude de prolonger les stages ou de les renouveler, demandant parfois aux stagiaires de former leurs successeurs."
Le texte prévoit aussi une limitation à six mois par an de la durée des stages dans une même entreprise et la fin des stages hors-cursus. Les syndicats ont regretté qu'aucune amélioration ne soit apportée en matière de gratification et l'absence d'avancée que la protection sociale -chômage et retraite- des stagiaires. Génération précaire réclame toujours une limitation du nombre de "apprenants" à 10% des effectifs pour lutter contre les abus.
Déception sur le volet de l'alternance
L'accord prévoit aussi un taux annuel de progression de 10% des contrats en alternance par les branches professionnelles. Alors que le quota obligatoire d'alternants dans les entreprises de plus de 250 salariés doit passer à 4% sous peine de pénalités, le respect de cet objectif par l'ensemble de la branche permettrait aux entreprises moins "vertueuses" d'éviter la sanction. Un arrangement qui fait du texte un "accord bla bla", "raté", et qui "va permettre aux grandes entreprises de s'exonérer de la disposition du 4%", a déploré Force Ouvrière.


Source: http://www.lexpress.fr
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MessageSujet: Re: L'actualité du 7 juin 2011   L'actualité du 7 juin 2011 Icon_minitimeMar 7 Juin - 21:44

SFR lance des forfaits moins chers, mais sans téléphone




Le prix du forfait pourrait baisser de 35 % à 45 % pour ceux qui acceptent de ne pas renouveler leur mobile.

SFR lance mardi sa nouvelle gamme de forfaits de téléphone mobile. Avec deux innovations majeures. D'une part, la possibilité de souscrire un abonnement, sans changer de téléphone. En contrepartie, le prix du forfait serait en baisse, baisse pouvant aller jusqu'à 35 % ou 45 %. Une opération choc par laquelle SFR se prépare à l'arrivée de Free, qui a promis de diviser par deux la facture mobile d'un foyer.

C'est aussi une rupture avec les tendances actuelles de consommation du mobile, où la majorité des abonnés changent systématiquement de téléphone - même si le leur fonctionne toujours - dès qu'ils repartent pour un nouveau forfait de 12 ou 24 mois. Une habitude peu écologique alors que le recyclage est lourd à organiser, et coûteux pour les opérateurs qui subventionnent largement l'achat du téléphone.

Les opérateurs semblent décidés à sortir de cette logique. «Jusqu'à présent, les abonnés des villes ont payé pour les abonnés des champs, ceux qui ne changeaient pas leur mobile ont payé pour ceux qui changeaient tout le temps. Aujourd'hui, quelqu'un qui ne change pas son mobile paiera moins cher», a expliqué Frank Cadoret, directeur général grand public et professionnels de SFR, sur La Chaîne techno. Numericable et La Poste, qui viennent tous deux de se lancer dans le mobile, ont fait des forfaits sans subvention du téléphone le fer de lance de leur stratégie pour proposer des forfaits à prix agressifs.

Projet de loi Lefebvre
Une manière de prendre les devants alors que depuis plusieurs mois le régulateur (Arcep) veut clarifier la subvention du mobile. Et que c'est également un des objectifs du secrétaire d'État à la Consommation, Frédéric Lefebvre, qui a présenté son projet de loi sur la protection des consommateurs, le 1er juin.

Reste à savoir si les consommateurs se laisseront séduire, alors que, de leur côté, les fabricants de terminaux ne cessent de proposer des modèles toujours plus innovants, ajoutant 4G, 3D, paiement sans contact et autre trouvaille technologique.

Autre nouveauté : SFR doit officialiser son accord avec le site de musique en ligne Spotify dévoilé par Le Figaro (nos éditions du 14 mai). À l'instar d'Orange avec Deezer, SFR va proposer plusieurs forfaits de téléphonie mobile avec Spotify inclus en illimité. Une manière de tenir compte d'une autre grande modification actuelle des usages : le déclin de la voix et le boom des échanges de données, qu'il s'agisse des SMS, mails, Web, vidéo ou des fichiers musicaux.



Source: http://www.lefigaro.fr
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