Ils volent les 110.000 euros qu'un retraité planquait sous son matelas
Deux personnes ont été condamnées à quatre mois de prison avec sursis, pour le vol de 110.000 euros. Sauf que ce n'est pas un vol perpétré dans une banque ou un magasin. Non, cette grosse somme a été subtilisée à un retraité... qui la cachait sous son matelas, comme nous l'apprend La Charente Libre.
La victime avait en effet retiré toutes ses économies de son établissement financier, notamment suite à une perte de confiance dans les banques, liée à l'affaire Kerviel. Il avait donc choisi d'abriter à domicile ses économie dès l'été 2009, le tout en coupures de 100 euros. De quoi se constituer un bon petit nid douillet.
Mais l'homme de 64 ans a visiblement eu la langue trop pendue. Dans un jeu de bouches à oreilles, l'information est arrivée à la connaissance d'Annie, une chômeuse de 57 ans. Ce dernière ne s'est d'ailleurs pas gênée pour gagner la confiance du sexagénaire.
Courant 2010, Wilfried, son complice de 45 ans, s'est rendu au domicile du retraité en son absence, afin de fabriquer un double des clés. Ce n'est qu'en décembre 2010, au retour des vacances de Noël, que notre homme s'est rendu compte que son magot avait disparu.
Il faudra attendre le mois d'août 2011 pour que les deux voleurs soient appréhendés. Annie s'était offert une voiture, tandis que Wilfried avait remboursé les fournisseurs de son restaurant avec les 110.000 euros qu'ils s'étaient partagés en deux parts égales.
Forbach : il paye sa taxe foncière avec ...... un chèque-ciné
Un habitant de Forbach (Moselle) s'est rendu mardi au centre des finances publiques de sa ville. Il est venu s'acquitter de sa taxe foncière avec un chèque rédigé sur une affiche de cinèma.
Une façon pour lui de dénoncer "un mauvais coup fait aux familles".
Le fisc lui réclame de justifier les sommes versées à ses trois enfants étudiants, pour les années 2008-2009. "On taxe les frais d’études de mes enfants" a-t-il dit, rapporte le quotidien Le Républicain Lorrain.
Par ce geste, Paul veut alerter les associations familiales et d'étudiants ainsi que les divers politiques de cette imposition faite aux parents sur les sommes données dans le cadre des études de leurs enfants.
Les services des impôts ont refusé d'encaisser le chêque et n'ont pas trouvé la plaisanterie du meilleur goût. Ils ont d'ailleurs prié Paul de sortir rapidement, sans autre forme d'explication.
Source: http://www.lepost.fr