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 L'actualité du 10 novembre 2011

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chuzzle
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MessageSujet: L'actualité du 10 novembre 2011   L'actualité du 10 novembre 2011 Icon_minitimeJeu 10 Nov - 19:34

Le futur permis de conduire devra être renouvelé tous les 15 ans




Le fameux papier rose, sésame de la conduite, vit ses derniers temps. La France se prépare à diffuser 40 millions de permis électroniques dès janvier 2013. Et ce nouveau permis de conduire, qui sera muni d'une puce, devra être renouvelé tous les quinze ans. Mais sans l'obligation pour les titulaires de passer un nouvel examen, et sur le même principe que les cartes d'identité et les passeports. Les titulaires d'un permis de conduire antérieur au 19 janvier 2013, a ainsi précisé jeudi le ministère de l'Intérieur, devront l'échanger avant 2033.

Ce nouveau permis résulte d'une directive européenne de 2006, qui oblige tous les pays de l'Union à être prêts à éditer leurs premiers permis numériques dès janvier 2013. Les futurs permis auront la forme d'une carte bancaire. Un nouveau système plus sécurisé et standardisé qui doit permettre de répondre aux objectifs fixés par Bruxelles : améliorer la lutte contre la fraude, faciliter la libre circulation des personnes et faire progresser la sécurité routière. Pour cela, la photo du titulaire du permis sera gravée dans la masse de la carte et disponible dans les informations de la puce. Les empreintes digitales pourraient y être également enregistrées.

Ce qui sera enregistré sur la fameuse puce

Les données de la puce accessibles via un système informatique permettront aux forces de l'ordre d'accéder en temps réel au dossier d'un conducteur en cas de contrôle, et ce dans toute l'Union. Des informations auxquelles les titulaires du permis auront accès à domicile grâce à un lecteur de carte. Ils pourront ainsi consulter instantanément leur nombre de points, l'historique de leur perte de points et peut-être même les motifs des retraits.

Le coût de développement de ce nouveau permis numérique est estimé à 40 millions d'euros et le coût de fonctionnement du système d'édition des titres à 20 millions supplémentaires par an. A compter de 2013, 2 millions de nouveaux permis devraient être distribués par an. Si la révolution numérique est en marche, elle risque d'être longue. La France a jusqu'en 2033 pour écouler ses stocks de vieux permis papier.





La taxe de 2% sur les hôtels de luxe va être supprimée





Hausse de la TVA oblige, la nouvelle taxe, mise en place le 1er novembre, sur les chambres d'hôtels à plus de 200 euros la nuit va être supprimée. C'est ce qu'ont annoncé jeudi les organisations patronales du secteur à l'issue d'une rencontre avec le secrétaire d'Etat au Tourisme, Frédéric Lefebvre.

Dans un communiqué, l'ensemble des organisations syndicales expliquent avoir eu, lors d'un entretien avec Frédéric Lefebvre à la mi-journée, l'assurance que la taxe de 2% sur les nuitées d'hôtels, votée en septembre par le Parlement et appliquée depuis le 1er novembre, "sera retirée". La raison est claire : si elle avait été maintenue, cette taxe se serait ajoutée à la hausse prévue de la TVA dans le secteur au 1er janvier conformément aux annonces du Premier ministre. Cette taxe spécifique de 2% sur les nuitées égales ou supérieures à 200 euros devait compenser la perte de recettes de 90 millions d'euros due à l'abandon du relèvement de la TVA sur les parcs à thème.

Dans leur communiqué, les syndicats de l'hôtellerie indiquent que le secrétaire d'Etat a également assuré aux restaurateurs "que le taux réduit de TVA, passant à 7%, respectera bien l'équité fiscale et 'appliquera bien à l'ensemble des produits et services actuellement taxés à 5,5% hors produits de première nécessité", ont-ils indiqué. Cette "équité fiscale" est devenue une priorité pour les professionnels de la restauration qui souhaitent que les sandwichs vendus en boulangeries ou en grandes surfaces et la restauration collective voient également leur TVA relevée de 5,5 à 7% comme pour l'ensemble du secteur de la restauration.
L'annonce de la suppression de cette taxe et des précisions sur l'assiette concernée par le relèvement de la TVA de 5,5 à 7% ont conduit les syndicats à réaffirmer les promesses faites en 2009 sur l'emploi, les salaires et l'investissement.



Source: http://lci.tf1.fr
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MessageSujet: Re: L'actualité du 10 novembre 2011   L'actualité du 10 novembre 2011 Icon_minitimeJeu 10 Nov - 19:35

Le 1er décembre, le Smic augmentera de 21 euros



inflation en France a atteint 2,3% en octobre sur un an et a franchi le seuil entraînant une revalorisation automatique du Smic, qui sera augmenté de 2,1% au 1er décembre. Par rapport au mois précédent, les prix à la consommation ont augmenté de 0,2%, a précisé jeudi l'Insee, évoquant notamment comme explication à cette hausse des "fins de promotions dans l'habillement et les chaussures, et dans l'alimentation". Des chiffres conformes aux prévisions des experts mais qui "témoignent de pressions inflationnistes qui restent fortes" dans le contexte français, a commenté l'économiste en chef pour la France de Société Générale, Michel Martinez.

Du coup, dès le mois prochain et sans attendre la revalorisation annuelle du 1er janvier, les 2,3 millions de salariés payés au Smic percevront une rémunération nette mensuelle de 1094,71 euros, contre 1072,07 jusqu'à présent (le Smic brut horaire passant de 9 à 9,19 euros). En effet, selon le code du travail, "lorsque l'indice national des prix à la consommation atteint un niveau correspondant à une hausse d'au moins 2 % par rapport à l'indice constaté lors de l'établissement du salaire minimum de croissance immédiatement antérieur, le salaire minimum de croissance est relevé dans la même proportion à compter du premier jour du mois qui suit la publication de l'indice entraînant ce relèvement."

Pas d'effet sur le pouvoir d'achat

"La revalorisation automatique d'aujourd'hui ne change rien à l'application des dispositions prévues par les textes au mois de janvier", a souligné par ailleurs le ministère du Travail. Le code du travail prévoit une revalorisation du Smic chaque 1er janvier.

Les répercussions de cette hausse sur les salaires proches du Smic devraient rester marginales, au bon vouloir des entreprises. "La diffusion des hausses du Smic aux autres salaires est généralement très faible, quasiment inexistante en période de chômage de masse comme actuellement", a commenté Eric Heyer, économiste à l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE). Par ailleurs, "cette augmentation n'aura pas d'effet sur le pouvoir d'achat puisqu'elle suit l'inflation", a-t-il fait remarquer.

Lors de la dernière revalorisation du Smic, le 1er janvier, celui-ci avait augmenté de 1,6%, passant de 8,86 euros à 9 euros (brut horaire), atteignant une rémunération brute mensuelle de 1365 euros pour 35 heures hebdomadaires. Le Smic a augmenté de 3,7% sur un an. Depuis l'élection de Nicolas Sarkozy à la présidence en 2007, aucun "coup de pouce" n'a été donné au Smic lors des différentes revalorisations.



Source: http://lci.tf1.fr
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MessageSujet: Re: L'actualité du 10 novembre 2011   L'actualité du 10 novembre 2011 Icon_minitimeJeu 10 Nov - 19:40

La mer Morte menacée d'assèchement



Tamar, le maître-nageur de la plage d'Ein Gedi, affirme qu'il voit descendre à l'œil nu le niveau de la mer Morte. Sa cabine est montée sur roues, pour pouvoir la déplacer avec la plage. «Il y a trois mois, la rive était au niveau de ce tonneau bleu», dit-il en montrant un bidon. Le bord se trouve maintenant une dizaine de mètres plus loin.

La fonction de maître-nageur au bord de la mer Morte est assez tranquille, puisqu'il est techniquement impossible de se noyer dans cette eau trop saline pour qu'on y coule. Les baigneurs y flottent comme des bouchons, leurs pieds dépassant de la surface de façon un peu ridicule. Tamar se contente de recommander d'éviter de s'éclabousser avec ce liquide presque huileux. Dans l'odeur méphitique de soufre qui charge l'atmosphère, d'autres vacanciers s'enduisent consciencieusement de boue et ressemblent à des statues vivantes.

Une chaleur intense
La mer Morte, vaste étendue d'eau turquoise sertie entre les falaises du désert, semble de loin ourlée de vaguelettes. De près, on s'aperçoit qu'il ne s'agit que d'une bordure de sel cristallisé, comme sur les bords d'un verre à cocktail. Mais on remarque surtout les lignes successives d'un rivage qui ne cesse de s'éloigner.

Le spa d'Ein Gedi a été construit au bord de l'eau en 1984. Une pancarte à l'entrée du complexe touristique indique que l'on se trouve à l'endroit le plus bas de la Terre. La baisse rapide du niveau de la mer a déjà rendu cette indication caduque. Les bâtiments se trouvent aujourd'hui à plus d'un kilomètre et demi du rivage. La société qui exploite le spa a dû construire une route, et un petit train, tiré par un tracteur, fait continuellement la navette jusqu'à la plage, située maintenant en contrebas. Des panneaux interdisent de s'éloigner de la chaussée, le recul de l'eau ayant laissé un sol truffé de trous profonds juste sous la surface, les dolines, qui peuvent s'effondrer sous le poids d'un homme. «En fait, nous courons après la mer, explique Uri Pri-Gal, le directeur de l'établissement. En deux ans, j'ai vu la plage reculer de 300 mètres.»

L'eau douce n'arrive pratiquement plus
Le niveau de la mer Morte n'a jamais cessé de fluctuer à travers l'histoire. Mais ce fragile écosystème est aujourd'hui gravement menacé.

La mer Morte a longtemps été alimentée en eau douce par le Jourdain, qui coule depuis le lac de Tibériade, à environ 180 kilomètres au nord. Sous l'effet de la chaleur intense qui règne dans cette vallée, prolongement de la Rift Valley, fracture tectonique courant à travers l'Afrique de l'Est et la mer Rouge, l'évaporation produit cette étendue d'eau ultrasaline, solution tellement saturée en minéraux qu'aucun organisme vivant n'y subsiste. «L'eau de la Méditerranée compte 9 g de sel par litre. Par comparaison, la mer Morte est à 345 g par litre. On ne peut plus rien y dissoudre», explique le Dr Marco Harari, spécialiste des traitements dermatologiques dans une clinique d'Ein Bokek. L'eau de la mer Morte n'est donc pas une eau de mer particulièrement concentrée, mais une substance particulière, où les sels de magnésium remplacent le sodium de l'eau de mer.

Mais l'apport d'eau douce s'est presque tari. «L'eau du Jourdain n'arrive pratiquement plus», explique Nir Papai, vice-président de la Société de protection de la nature en Israël. «Dans les années 1960, Israël a construit une série de barrages qui captent l'essentiel du lac de Tibériade pour alimenter en eau potable le reste du pays. Ce qui coulait encore est depuis utilisé par la Jordanie, qui pratique dans la vallée du Jourdain.

À part l'eau des pluies hivernales et celle des égouts des villes de Cisjordanie, la mer ne reçoit presque plus rien. Et l'évaporation menace de faire définitivement mériter son nom à la mer Morte, qui pourrait à moyen terme devenir un désert de sel. «Il n'existe aucune solution miracle pour sauver la mer Morte, reconnaît Nir Papai. Il n'est pas possible d'envisager de laisser de nouveau l'eau du Jourdain s'écouler comme autrefois. Même pour un écologiste, il est difficile d'imaginer gâcher ainsi des millions de mètres cubes d'eau douce dans une région dont les habitants en manquent cruellement.»

Le projet israélo-jordanien Red-Dead, canal de plusieurs centaines de kilomètres creusé depuis la mer Rouge, au fond du golfe d'Aqaba, pour remplir la mer Morte, est à l'étude depuis quelques années, soutenu par la Banque mondiale. Mais personne n'est capable de prévoir les conséquences de l'arrivée d'eau de mer dans la mer Morte, qui a toujours reçu de l'eau douce. «Nous ne sommes pas totalement contre, mais il faut évaluer par avance les conséquences, dit Nir Papai. Il est difficile de ne pas être pessimiste quand à l'avenir de la mer Morte.»

Quand le plan d'eau baisse au nord, il déborde au sud
La mer Morte baisse, mais sa partie sud menace de déborder. Une quinzaine d'hôtels d'Ein Bokek, la principale station balnéaire israélienne de la côte, sont sur le point d'être inondés par la montée des eaux, situation un peu curieuse alors que le niveau général de la mer ne cesse de descendre. Ce phénomène paradoxal est dû à l'exploitation intensive des sels de la mer Morte par Dead Sea Works, une florissante compagnie israélienne qui y exploite la potasse, le bromure et le magnésium, particulièrement abondants.

La baisse du niveau de la mer Morte a divisé son étendue depuis les années 1970 en deux bassins. Le plus grand et le plus profond se trouve au nord. «La partie sud a été transformée par Dead Sea Works et leurs homologues jordaniens en de vastes bassins d'évaporation, explique Néhémie Ben Porat, le directeur de l'association des hôtels de la mer Morte. Ils pompent l'eau du bassin nord par un canal et la laisse ensuite s'évaporer, avant de récupérer la potasse et les minéraux qu'ils exploitent. Mais ils laissent une grande quantité de sel, qui s'accumule au fond. Cette couche s'épaissit et fait monter d'autant le niveau du bassin.»

30 km de tapis roulant
Devant l'hôtel Lod, que dirige Ben Porat, l'eau d'un bleu électrique n'est qu'à quelques dizaines de mètres de l'édifice, et la plage artificielle a déjà été surélevée pour contenir la montée des eaux. «Le niveau de la mer monte de 20 cm par an. Il faut agir vite», dit-il. Les hôtels d'Ein Bokek accueillent environ deux millions de touristes par an, venus profiter du climat particulièrement chaud de l'endroit, mais aussi des vertus prêtées à l'eau de la mer Morte dans le traitement de diverses maladies de la peau.

Dead Sea Works dégage de son côté des profits énormes. Son chiffre d'affaires est estimé à environ 1,2 milliard de dollars. La compagnie et son homologue jordanienne produisent 10% de la potasse mondiale, à un coût défiant toute concurrence puisqu'elles n'ont qu'à la ramasser après évaporation de l'eau, au lieu de creuser de coûteuses mines souterraines comme dans les autres gisements.

«Les hôteliers oublient que s'il y a encore de l'eau dans la partie sud de la mer Morte, c'est grâce à nous, réplique Noam Goldstein, le vice-président des infrastructures de Dead Sea Works. Le bassin sud est situé trente mètres plus haut que la partie nord de la mer Morte. C'est nous qui pompons par un canal l'eau qui remplit le bassin sud. Notre première usine a été construite en 1952, juste après l'indépendance d'Israël. Les premiers hôtels ont été élevés au bord de notre bassin en 1971. Sans notre activité, il n'y aurait eu qu'un désert. Nous avions prévenu les hôteliers que le niveau de l'eau était susceptible de monter», plaide-t-il.

«Pour tout le monde, nous sommes le coupable idéal. Notre activité est profitable, et nous sommes les seules industries visibles dans la région. Mais on oublie que c'est grâce à nous qu'il y a de l'eau dans le bassin sud. Et que nous ne faisons qu'utiliser un phénomène naturel, le soleil, pour récolter la potasse.» Certains écologistes mettent en avant que le pompage de l'eau depuis le bassin nord accélère aussi le processus d'évaporation.

La dispute entre les industries de la potasse et les responsables touristiques est allée jusque devant la Cour suprême israélienne, qui a demandé au gouvernement d'agir. Après avoir envisagé de détruire les hôtels pour les reconstruire un peu plus loin, ou de construire une digue protégeant les installations touristiques, deux solutions aussi coûteuses que temporaires, les industriels et les hôteliers se sont accordé sur une troisième idée: récolter la couche de sel laissée au fond de l'eau et répandre ce sel dans le bassin nord.

«Maintenant, il faut savoir qui va payer, explique Noam Goldstein. C'est un projet colossal, qui consiste à transporter 16 millions de mètres cubes de sel par an. On doit casser la croûte de sel, aussi dure que du béton, la concasser, puis la transporter par un système de tapis roulants sur trente kilomètres, avant de la charger sur des bateaux et de répandre le sel dans le bassin nord.»

Deux organisations écologistes israéliennes ont aussi déposé devant la Knesset un projet de protection et de réhabilitation de la mer Morte, qu'elles espèrent voir voté en même temps que l'élection du site comme l'une des merveilles du monde. Le ministère israélien de l'Environnement serait ainsi chargé d'un plan annuel visant à assurer le remplissage de la mer Morte en laissant s'écouler une partie des eaux du Jourdain, en limitant les constructions touristiques et en contrôlant les volumes d'eau pompés par Dead Sea Works.

Source: http://www.lefigaro.fr
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