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 L'actualité du 5 mai 2011

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chuzzle
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MessageSujet: L'actualité du 5 mai 2011   L'actualité du 5 mai 2011 Icon_minitimeJeu 5 Mai - 21:03

Absentéisme scolaire : cinq cas de suspension des allocations familiales


Sur les 31 demandes de suspensions d'allocations familiales faites aux Caisses d'allocations familiales (Caf) pour absentéisme scolaire, cinq familles ont vu leurs aides suspendues depuis la parution en janvier du décret. De source proche du dossier, ces cinq familles vivent en Ariège et dans l'Yonne. Seule la part des allocations familiales correspondant à l'enfant ayant fait l'école buissonnière leur a été retirée, et elle sera reversée si l'enfant reprend le chemin des cours, comme il est prévu dans la loi adoptée l'an dernier.

Dans le détail, selon des remontées de 56 départements, 9.433 premiers signalements pour absentéisme ont été faits par les inspections d'académie, puis 7.859 premiers avertissements. Après quoi de nombreux élèves en cause ont repris une scolarité régulière, si bien que 1.964 seconds signalements ont été faits, aboutissant à 31 demandes de suspension, puis cinq effectives. Devant une commission de l'Assemblée nationale, le ministre Luc Chatel avait annoncé pour la première fois mardi soir que 31 demandes de suspension avaient été adressées aux Caisses d'allocations familiales.

La proposition de loi du député UMP Eric Ciotti avait été adoptée en juin 2010 par l'Assemblée, puis votée dans les mêmes termes en septembre au Sénat. "En cas d'absentéisme scolaire (au moins quatre demi-journées sur un mois, ndlr), le directeur de l'organisme débiteur de prestations familiales est tenu de suspendre, sur demande de l'inspec teur d'académie, le versement de la part des allocations familiales dues au titre de l'enfant absentéiste", selon ce décret. Cette proposition de loi avait été très critiquée dans la communauté éducative, le gouvernement assurant lui qu'il s'agit de "l'ultime recours" dans le dispositif de lutte contre l'absentéisme scolaire.



Allemagne : les chômeurs privés de paris sportifs ?



Les chômeurs allemands qui rêveraient de devenir millionnaires grâce à un juste pronostic risquent de tomber de haut : les paris sportifs leur sont désormais interdits par un jugement du tribunal de Grande instance de Cologne.

Merkel "supprime" la bière et la clope de l'aide sociale allemande - 1min 5s
Cette décision demande aux employés de Westlotto, l'organisme public de gestion des paris, de s'assurer que leurs clients ne vivent pas de minima sociaux (Hartz-IV). Si tel est le cas, ou que la mise est trop importante, les employés devront refuser de laisser ces clients parier.

Westlotto va faire appel

Ce jugement confirme une première décision rendue en mars. Le tribunal interdisait alors à Westlotto d'enregistrer des paris lorsque "les joueurs risquent des mises trop importantes par rapport à leurs revenus". La décision concernait en particulier les récipiendaires de Hartz-VI.

Le tribunal de Cologne n'a pour l'heure pas précisé comment les salariés de Westlotto peuvent connaître la situation financière des parieurs. L'organisme de paris a quant à lui annoncé son intention de faire appel.



La prime aux salariés pourra être versée autrement qu'en cash




Le Figaro croit savoir que la prime que devront accorder à leurs salariés les entreprises de plus de 50 salariés pourra être versée autrement qu'en numéraire, selon les derniers arbitrages rendus. Toujours obligatoire, la prime pourrait prendre l'aspect, sous condition d'accord collectif, d'un surplus de participation ou d'intéressement, d'une prise en charge d'une mutuelle ou encore d'une distribution d'actions gratuites.

L'avantage consenti devra toutefois être collectif (c'est-à-dire bénéficier à tous les salariés et non à certaines catégories), pécuniaire (il doit être équivalent à une somme d'argent) et nouveau (il ne doit pas avoir été accordé précédemment). Le projet de loi apporte des précisions également sur la notion de dividende pris en compte pour le calcul de la prime. "Il ne s'agira pas du montant global du dividende versé mais du dividende par action", écrit le journal. C'est la maison-mère qui fera référence.
Pas de dérogation

"Ainsi, si le dividende distribué par la maison-mère augmente par rapport à la moyenne des deux années précédentes, toutes les filiales et entités qui en dépendent devront verser la prime, qu'elles affichent ou non des bénéfices en hausse", écrit le quotidien. Pour les groupes présents en France dont le siège social est à l'étranger, la mesure s'appliquera aux salariés dans l'Hexagone si "la plus haute maison mère située sur le territoire français" a augmenté ses dividendes.

Pour le reste, comme cela avait été annoncé, le montant et la modalités de la prime doivent être négociés au sein dans l'entreprise, dans les mêmes conditions que la participation ou l'intéressement. A défaut d'accord avec les organisations représentatives du personnel, la fixation des modalités revient à la seule direction de l'entreprise, ajoute le journal. Aucune entreprise de plus de 50 salariés ne bénéficiera de dérogations. La prime sera exonérée des cotisations sociales classiques - mais soumise à 8% de CSG-CRDS et 6% de forfait social - jusqu'à un plafond de 1.200 euros.



Source: http://lci.tf1.fr/
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MessageSujet: Re: L'actualité du 5 mai 2011   L'actualité du 5 mai 2011 Icon_minitimeJeu 5 Mai - 21:06

Hôtels de luxe : 8 palaces français... et des mécontents



On le savait, depuis novembre dernier et la refonte du classement hôtelier français qui avait entraîné la naissance déjà d'une 5e étoile (127 établissements), tout hôtel ne peut plus revendiquer la dénomination "palace" si bon lui semble. Il faut désormais, pour prétendre au nom, remplir des critères précis. Et finalement, c'est un club très fermé de huit établissements (sur 14 postulants) qui remplit à ce jour ce cahier des charges. La distinction "palace" leur a été décernée ce jeudi pour la première fois en France. Ces hôtels de luxe sont censés incarner "l'excellence à la française", a souligné le jury chargé de leur sélection.

Vous trouverez donc cette "excellence à la française" à Paris, avec 4 des 8 hôtels : au Bristol, au Meurice, au Parc Hyatt Vendôme et au Plaza-Athénée. Et en province, ce sera à l'hôtel du Palais à Biarritz, aux Airelles et au Cheval Blanc à Courchevel, et au Grand Hôtel Cap Ferrat à Saint-Jean-Cap-Ferrat. La première plaque "palace" a été apposée dès jeudi en début d'après-midi sur la façade de l'hôtel Bristol à Paris, en présence du secrétaire d'Etat au Tourisme Frédéric Lefebvre.
Celui-ci a annoncé que la date limite du prochain dépôt des candidatures pour la distinction "palace" était fixée au 30 juin. Le George V retentera-t-il sa chance ? Furieux que cet hôtel parisien près des Champs-Elysée n'ait pas été retenu parmi les 'happy few', François Delahaye, patron du groupe Dorchester (pourtant également propriétaire du Meurice et du Plaza-Athéné), qui avait co-rédigé un rapport sur la distinction "palace" dont s'est inspiré le secrétariat d'Etat au Tourisme pour l'établissement de critères, a parlé jeudi d'une "victoire amère". Il a estimé que le jury s'était décrédibilisé en ne sélectionnant pas le George V, citant également l'absence dans la liste du Ritz. Autre mécontent, Gabriel Matar, directeur France du cabinet spécialisé Jones Lang LaSalle, a jugé auprès de l'AFP que "les jurés ont sonné le deuil du titre". "Trouvez quelqu'un qui dise que le George V n'est pas bon ! On peut ne pas aimer son style mais en ce qui concerne la qualité du service, c'est la référence", a-t-il dit. Mais "si cela avait été comme à l'Ecole des Fans, avec 10 à tout le monde, cela aurait encore plus décrédibilisé" la distinction, estime au contraire Laurent Duc, président des hôteliers au sein de l'Umih, le principal syndicat du secteur.

Shangri-La et Royal Monceau dans la prochaine course ?

Le jury, créé début novembre et présidé par l'académicien Dominique Fernandez, compte dix membres parmi lesquels l'écrivain Gonzague Saint-Bris, la productrice de télévision Carole Rousseau, l'architecte Jean-Michel Wilmotte ou encore le patron du groupe hôtelier Carlson Hubert Joly. Le jury a annoncé son verdict après avoir instruit les dossiers des candidats concernant des critères "subjectifs" comme la permanence et la rapidité du service, l'excellence de la restauration, l'histoire ou l'architecture exceptionnelle du lieu. Auparavant, c'est l'organisme de promotion touristique Atout France, en charge notamment du suivi classement hôtelier, qui avait mené l'instruction sur des critères "objectifs" comme la taille de la chambre, une activité menée depuis 24 mois minimum en cas de réfection totale de l'établissement, 30 en cas d'ouverture, une équipe polyglotte, un spa etc.

L'enjeu de la refonte du classement hôtelier français qui est notamment de valoriser ces établissements sur la scène internationale où la concurrence est de plus en plus forte à l'étranger et en France. Notamment à Paris avec les ouvertures récentes et annoncées d'hôtels de grand luxe gérés par des opérateurs asiatiques comme le Shangri-La et le Royal Monceau.

Or les prochains postulants (du 30 juin) bénéficieront de délais d'ancienneté réduits. Ainsi pour la première promotion, il fallait avoir ouvert depuis au moins 24 mois en cas de réfection totale de l'établissement existant ayant entraîné une interruption d'activité d'un an ou plus. Ce délai est dorénavant ramené à six mois. De même, le délai d'ancienneté est ramené de 30 mois à 12 mois en cas d'ouverture. Les premiers délais pénalisaient les nouveaux entrants notamment sur Paris avec les ouvertures récentes du Shangri-La et du Royal Monceau l'an dernier qui ont tous fait l'objet d'investissements massifs. Le Mandarin Oriental cette année et le Peninsula en 2012 sont les prochaines ouvertures annoncées.



Source: http://lci.tf1.fr/
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